L’extraordinaire détermination des leaders de l’industrie pharmaceutique pour commercialiser des vaccins anti-Covid a mis en évidence leurs motivations et leurs méthodes. D’abord, la priorité donnée au profit a engendré la mise en oeuvre d’une stratégie pour forcer le recours systématique aux vaccins. On peut citer l’utilisation de la peur, l’interdiction de médicaments existants, l’interdiction de soins imposé aux médecins généralistes. De plus, le temps, c’est de l’argent. D’où l’urgence à commercialiser des produits qui ressemblent à des vaccins, qu’ils en soient ou non. Si là-dessus, on ajoute des vagues pandémiques et la possibilité de faire mousser les chiffres de contaminations et de décès, on obtient le jackpot du Covid.
Une efficacité contestable
Les discours officiels nous assurent que les vaccins nous ont sauvés d’une catastrophe sanitaire. Mais qu’en savons-nous réellement ? L’OMS dénombre 6,5 millions de décès dus à la pandémie de Covid-19 dans le monde. En admettant que ces chiffres sont justes, comment savoir si les pertes auraient été pires sans vaccin ? Qu’en aurait-il été si les antiparasitaires – ivermectine et hydroxychloroquine – avaient été administrés précocément au lieu d’être subitement interdits ? Quid si les médecins de famille avaient été autorisés à soigner les malades ? Si ces derniers n’avaient pas été contraints d’attendre que leur état se détériore pour se rendre aux urgences ? Combien de personnes âgées auraient survécu au lieu d’être abandonnées à leur sort dans les maisons de retraite, comme cela a été constaté en France, au Canada, au Royaume-Uni, en Espagne ?
Peut-être aurions-nous eu moins de décès, la panique et les séquelles sanitaires en moins. Car enfin, ces vaccins n’inspirent pas confiance. D’abord, parce qu’ils n’agissent pas comme des vaccins. Le principe d’une vaccination est qu’elle est préventive. Elle stimule le système immunitaire afin que, quelques semaines plus tard, le corps soit prêt à contrer l’attaque virale. C’est ce qui se passe dans le cas du vaccin anti-grippal. Ensuite, une fois la vaccination faite, la réponse immunitaire est durable. Elle n’est jamais à renouveler tous les 3 à 6 mois pour contrer de nouvelles vagues de mutants.
Une stratégie redoutable
Pour Big Pharma, l’émergence du SRAS-Cov2 s’est présentée comme une opportunité formidable. Et, pour toucher le jackpot du Covid, les leaders du secteur ont développé une stratégie redoutable. Elle consistait à répandre la peur à l’aide d’experts sélectionnés et de médias convertis au sensationnalisme. L’appui des gouvernants, par naïveté ou par compromission, était le second étage de la fusée. Il a décollé à merveille. Certains, en pleine dérive autoritaire, y ont vu l’occasion d’assoir leur domination de classe tout en servant les intérêts ultra-libéraux. L’omniprésence des cabinets de conseil, auprès des gouvernements, tels McKingsey en France, signalent l’influence grandissante des intérêts privés. Dans leur panoplie, la peur est présentée comme un outil stratégique. Le cabinet SAGE, au Royaume-Uni, mentionnait dans un rapport, début 2020 : “Un nombre important de personnes ne se sent toujours pas suffisamment menacées”. Et les moyens adéquats d’y remédier.
Dernier étage pour atteindre le graal : le démolissage en règle des experts en virologie intègres. Le professeur Perrone, pourtant conseiller de plusieurs gouvernements, le professeur Montagnier, prix Nobel de médecine, en ont fait les frais. Taxés de complotistes, ridiculisés sur les plateaux télé, les experts tenant des discours alternatifs ou simplement prudents le payaient cher. Un seul discours était admis. Celui de la doxa – contrôle de l’opinion à l’échelle mondiale – imposée par de nombreux gouvernements occidentaux. Une enquête du sénat français a, d’ailleurs, reconnu l’influence croissante des cabinets de conseil sur les politiques publiques.
Une gravité qui n’est pas avérée
La gestion de la pandémie pose beaucoup de questions. Elle en pose d’autant plus que la pandémie, réelle ou montée en épingle, a été utilisée pour déplacer des montants colossaux d’argent public vers les caisses du privé. A coup de subventions – d’argent public – et d’achats répétés de doses vaccinales, les Etats ont versé des sommes astronomiques aux Grands Laboratoires. Ainsi, Pfizer a augmenté son bénéfice net de 78 % sur son dernier exercice qui a atteint 9,9 milliards de dollars.
Or, la gravité de la pandémie n’est pas avérée. Les chiffres officiels des décès pourraient inclure les personnes ayant été testées positives au Covid. C’est le cas au Royaume-Uni qui recense les “décès impliquant le Covid-19”. Cela ne signifie pas que le décès est dû au covid, précise l’organisme public. En d’autres termes, quelqu’un décédé d’une insuffisance rénale déjà testé positif au covid se verrait placé dans les morts dus au covid. A ce biais s’ajoute la fragilité de l’état de santé de la population la plus à risque, à savoir, les gens âgés de plus de 70 ans. Des pathologies parfois multiples accompagne, malheureusement souvent, le grand âge. Or, c’est après 80 ans que le plus fort contingent des décès se situe. Dès lors, le risque est grand d’attribuer, à tort, des décès au Covid.
Irrégularités ou mensonges
On s’aperçoit aujourd’hui, que les complotistes n’étaient peut-être pas ceux désignés par la Doxa. Les essais Pfizer qui ont mené à l’autorisation de mise en marché aux USA et dans l’UE sont entachés d’irrégularités. La Food and Drug Administration, qui refusait de produire les documents justifiant son autorisation, a été sommée par la justice de les rendre publics. Ursula Von der Leyen, présidente de la Commission Européenne, est sous le coup d’une enquête du bureau du procureur européen. L’utilisation abusive des fonds de l’UE dans le contexte des marchés passés avec Pfizer est sur la table. L’UE a acheté la bagatelle de 2,4 milliards de doses payées 36 milliards d’euros à Pfizer. Le total des achats de doses a coûté, tous fournisseurs confondus, 71 milliards d’euros d’argent public.
Une autre révélation a achevé de ridiculiser le slogan du gouvernement français “tous vaccinés, tous protégés”. La commission d’enquête menée par des députés européens a révélé que le vaccin n’avait pas été testé sur la transmission ! Or toute la politique sanitaire contraignante des gouvernements (confinements, passe vaccinal) était basée sur l’allégation que se vacciner protégeait les autres. La pression culpabilisante posée sur les non-vaccinés, allant jusqu’à la suspension des soignantes non-vaccinées, reposait donc sur du vent !
Des autorisations expéditives
Les conséquences éventuelles sur la santé humaine n’ont pas pesé lourd dans ces calculs sonnants et trébuchants. La commercialisation précipitée de vaccins peu ou pas testés est la preuve la plus éclatante de cette dérive. En France, un vaccin demande 9 à 14 ans de recherche et d’essais cliniques avant d’être définitivement validé. Il aura suffit de quelques mois pour les soi-disant vaccins de Pfizer, Moderna, Astra-Zeneca et autres soient autorisés. En Europe, les autorités ont mis en place des procédures accélérées, pour faire face à une urgence sanitaire qui n’est pas démontrée. La FDA a fait de même aux Etats-Unis. Cerise sur le gâteau, cette extrême confiance est basée sur les données fournies par les intéressés : les laboratoires fabricants et vendeurs eux-mêmes.
L’empressement des organismes de santé européens et américains à autoriser les produits appelés vaccins posent question quant à leur indépendance et/ou à leur sérieux. Leur mission consistant à protéger la santé publique ne paraît plus effective au regard de l’événement Covid. En effet, la biostatisticienne Christine Cotton a examiné les rapports fournis par Pfizer pour son vaccin à ARN messager, Cominraty. Les résultats de ses recherches et de son rapport de 110 pages sont clairs. Les résultats officiels ne peuvent être considérés comme fiables et intègres au regard des bonnes pratiques cliniques. En compagnie de deux autres enseignants-chercheurs, elle a tenté d’alerter les parlementaires sur les “graves effets secondaires des vaccins”. Mais, ils ont tous les trois été écartés de l’audition publique qui était programmée.
Santé en danger
Contrairement à un discours de façade, les laboratoires n’ont pas eu pour but prioritaire de protéger la santé publique. S’ils produisent et vendent des médicaments, cette circonstance n’a été que le moyen d’atteindre l’objectif du profit. Ils ne possèdent pas non plus les vertus d’innovation que certains leur attribuent. Car ces multinationales se comportent plutôt comme des fonds spéculatifs, achetant et contrôlant d’autres firmes. Pour son vaccin, Pfizer a, ainsi, bénéficié du travail de recherche d’universités, effectué grâce à des fonds publics, et de celui de l’entreprise allemande BioNTech.
En plus, la technique des vaccins à ARN, utilsée par Pfizer et Moderna, toute nouvelle, suscite l’inquiétude de médecins reconnus. Certains, comme le professeur Perrone et la généticienne Alexandra Henrion-Claude, l’estiment dangereuse. Les ARN messagers pourraient s’insérer dans le génome humain et y rester, causant des perturbations durables sur la producion des protéines de l’organisme. La méconnaissance des effets de cette technique aurait justifié de la prudence. Au lieu de ça, la hâte à commercialiser et à administrer s’est combinée à l’obligation vaccinale.
Des effets secondaires minimisés ?
D’ailleurs, les effets secondaires des vaccins semblent minimisés, voire, sciemment non recherchés. Ils se révèlent chaque jour plus impactant pour un nombre important de personnes. Une surmortalité inquiétante, des 18 – 65 ans, est apparue en 2021 et 2022 dans l’ensemble des pays fortement vaccinés. Plus leur taux de vaccination est élevé, plus la surmortalité est forte. Même si celle-ci ne peut être attribuée formellement aux vaccinations quasi-imposées, ces chiffres ont de quoi alarmer.
Des médecins allemands se sont regroupés dans une association en affirmant: « Jamais auparavant dans l’histoire de la médecine une vaccination n’a été associée à un nombre aussi élevé d’effets secondaires graves et de décès ». Aux Etats-Unis, Edward Dowd, ancien analyste de Wall Street, révèle que la surmortalité des milléniaux a augmenté de 84 % à l’automne 2021. Il conclut en disant : “Il faut parler de la surmortalité consécutive aux vaccins imposés par le gouvernement”.
Crise sanitaire mondiale
La généticienne Alexandra Henrion-Claude est à l’initiative d’une pétition internationale qui a déjà recueillie plus de 24 000 signatures. Elle invite médecins, scientifiques et citoyens à demander une enquête sérieuse sur les effets secondaires des vaccins covid. Sa déclaration stipule que les chiffres officiels relatant le nombre des décès dus aux vaccins ne représenterait que 1 à 10 % des chiffres réels. Au lieu des 70 000 décès officialisés par les organismes statistiques des différents pays, ce serait donc entre 700 000 et 7 millions de morts qui seraient en cause. Le même pourcentage démultiplicateur s’appliquerait aux 11 millions d’effets indésirables officiels.
De toute évidence, les indices d’une crise sanitaire mondiale sans précédent se font jour. La sphère politico-économico-médiatique a beau imposer une pression forte pour contraindre la parole libre, l’omerta se fissure. Des médecins, personnels de santé et scientifiques intègres constatent les hiatus et les dénoncent. Certains anciens cadres des laboratoires pharmaceutiques désertent un système qui mettrait sa mission de santé au second plan. C’est le cas de Jacques Bauer, un chercheur suisse aujourd’hui pharmacien-clinicien. Ses observations du contenu des vaccins sous microscope électronique de dernière génération révèlent des cristaux aux formes géométriques carrées. Celles-ci ne ressemblent à rien de biologique. “Qu’est-ce que c’est que ce cristal ! s’exclame-t-il. On n’a jamais vu ça dans un vaccin!”
Tous et toutes des cobayes
Conformément à leurs ambitions mercantiles, les laboratoires ont réservé les doses aux acheteurs capables de payer le prix fort, laissant les autres de côté. Ces derniers servent aujourd’hui de comparaison pour estimer l’efficacité des vaccins. Or, loin d’être des incubateurs à variants, ce sont les pays les moins vaccinés qui, selon les statistiques, s’en tirent le mieux. Ainsi, la Guinée avec une couverture de 9,85%, totalise 458 morts, pour une population de 13,5 millions. Et le Cameroun, avec seulement 2,5% de vaccinés ne déplore que 1 965 décès pour 27,22 millions d’habitants. Dans le même temps, le Portugal, avec ses 82,72% de vaccinés recense 25 254 morts pour 10,5 millions d’habitants.
Si les laboratoires pharmaceutiques majeurs ont touché le jackpot du Covid, ils ont aussi révélé leur froide détermination au mépris de tout principe de précaution. Car leur stratégie a été menée sans aucun recul ni données d’inocuité fiables selon les bonnes pratiques pharmaceutiques. Les populations ont fait office de cobayes, inoculées pratiquement de force avec des produits aux effets inconnus. Cette attitude révèle la perte aigüe de la valeur humaine qui se manifeste avec une intensité croissante dans les sphères élitistes mondiales. Elle fait suite à la perte de valeur de la vie en général. Le monde végétal et animal en cours d’anéantissement en fait les frais depuis un certain temps. C’est à présent le tour des êtres humains qui semble être venu.
Le temps de la prise de conscience ?
Ce cynisme de l’industrie pharmaceutique n’augure rien de bon pour l’avenir. Car la destruction du milieu naturel engendrera sans nul doute d’autres pandémies. Mais il y a pire. Nous en sommes arrivés à un point de non-valeur humaine qui ouvre la porte à toutes les extrémités. La passion des hommes les plus riches du monde pour les robots et les machines est révélatrice à ce sujet. Ils ne perçoivent plus la beauté de la vie. Du coup, ils ne posent aucun frein à leurs appétits prédateurs, d’abord et avant tout, parce qu’ils ne ressentent plus d’émotions. Mais ils ne sont pas les seuls. La baisse de sensibilité est collective. Nous atteignons un point de dégradation émotionnelle, par la haine du principe créateur de vie, le Féminin, qui rend possible la destruction en masse de l’humanité. C’est ce que j’appelle la fin du cycle patriarcal de destruction.
Heureusement, il existe une autre suite possible à ce qui vient de se produire. Car des voix intègres se font entendre de toutes parts à qui sait tendre l’oreille. Les média mainstream ont beau les bannir de leurs plateaux, il existe d’autres canaux (encore) ouverts au partage de l’information. Ces médecins, scientifiques, pharmaciens, analystes, politiques, économistes apportent leurs observations et leurs questionnements. Peut-être parviendront-ils/elles à initier une prise de conscience générale indispensable à l’écriture d’un autre futur et, même, d’un futur tout court.
Pour en savoir plus sur la façon dont la réalité est créée, consultez l’article La réalité est une mécanique